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Le blog de nous, pauvres petits P1 (bizuths de surcroît ^^)

Le blog de nous, pauvres petits P1 (bizuths de surcroît ^^)
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Le blog de nous, pauvres petits P1 (bizuths de surcroît ^^)
3 septembre 2008

C'est reparti !

Coucou à tous, c'est moi, votre rédacteur préféré(où du moins j'espère). Me voilà de retour après de longs mois d'absence vous doit toutes mes sincères excuses pour cet abandon caractérisé, mais voyant que j'étais seul à poster, j'ai posé un ultimatum à mes camarades. Je n'écrit plus rien tant que rien d'autre ne sera posté.

Et puis bon, vu que rien n'a été posté j'abdique, et je cède à la demande de mes admirateurs de l'ombre.J'en profite d'ailleurs pour insulter copieusement les dit camarades pour leur manifeste faiblesse créative (ah! c'est parce qu'ils travaillent EUX. C'est pas une excuse ça). bref, je vous le dit donc en grand, gras et rouge, le Quart d'heure philosophique recommence.Il sera plus beau, plus fort et plus intelligent( comme un élève de médecine après une année de P1), il y en aura plus souvent, avec plus d'actualité, plus de sujets qui vous passionnent(comme par exemple la consubstantialité espace temps, et non pas le sexe, et l'alcool, bande d'étudiants dépravés). Alors c'est reparti pour une saison philosophique riche en émotions.

Show must go on! et youpitralalayoupitralala

Ps: je vous aime tous...

Ps2: certain plus que d'autres...

Ps3(la dernière sortie):et je m'aime plus que tous

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28 février 2008

Quart d'Heure Philosophique spécial St Valentin - L'amour

Mesdames et messieurs, chers auditeurs, bonsoirs et bienvenue pour le Quart d'Heure Philosophique

Tadaaaadaaaatadadadadadam (petite musique d'intro)

Enfin, le voila, il est beau, il est frais, bronzé et tatoué votre nouveau Quart d’Heure Philosophique. Je vous pris, fidèle audimat d’excuser ce léger contretemps (tout au plus 4 ou 5 semaines) mais ce retard étant égal au retard dans mes cours, j’espère que vous aurez l’indulgence de me pardonner.

Sans plus attendre passons au choses presque sérieuses avec nôtre sujet d’actualité : l’Amour. Eh oui, en ces temps de 14 février et autres saint Valentin nous ne pouvions pas contourner ce sujet crucial de tout penseur moderne que vous êtes. Allons ne soyez pas timides, vous vous posez des questions sûr ce sujet ? Je vais y répondre afin d’éclairer votre lanterne philosophique. Alors c’est partit pour la love parade et allons y gayment !

Oui, vous là bas au fond ! Ah, ah, question cruciale si il en est : qu’est ce que l’amour ? En vérité c’est bien simple, c’est le sentiment que vous ressentez (nous ressentons, car malgré mon grand esprit de philosophe je reste sujet à ce genre de perversions) lorsque vos pensées sont occupées par un être pour lequel vous avez une affection particulière (que vous aimez donc), que ce soit votre collègue de classe, un(e) ami(e) dont vous espérez que ça ne le restera pas trop longtemps, votre petit(e) copain/copine ou bien une chèvre qui broute langoureusement dans un prés, mais nous laisserons de coté cet exemple.

Pas assez concret me dites vous ? Dans ce cas, on peut aussi dire qu’il s’agit d’une réaction physiologique due à la reconnaissance de certaines phéromones sexuelles, ce qui provoque chez les individus un stimulus émotionnel qui se traduit par le ressenti d’un état psychique particulier créant une dépendance forte. Un peu technique n’est ce pas ? Mais la question de base était aussi un peu stupide.

Madame à gauche pose une bonne question : qu’est ce que c’est d’être amoureux ? Qu’est ce que ça fait ? Passons les détails morphologiques de l’état amoureux et intéressons nous plus particulièrement à la psychologie de l’être amoureux. Pour ce faire il est important de faire une distinction qui va s’avérer majeure dans cette étude : l’amoureux tout seul et l’amoureux en couple.

  Commençons par l’amoureux solitaire (pour des raisons purement pratique de « l’amoureux/reuse » nous utiliserons ici le terme masculin:"l’amoureux ", même si cela englobe aussi les jeunes demoiselles qui lisent ce ramassis de con…biiiiiiip), donc, le célibataire qui a une idée derrière la tête et des fantasmes à l’intérieur (on ne localisera pas les pulsions, vous m’avez compris). Cet état, qui est en fait celui dans le quel bon nombre d’entre nous se trouvent, et dont certains n’ont jamais rien réussit à faire (je ne vise personne en particulier mais pense notamment à certains jeunes hommes célibataires de ma connaissance), est en fait celui du dragueur qui a trouvé sa proie.

Fauve en ébullition devant la petite gazelle de ses rêves, qui semble souvent bien trop rapide pour la patte lourde de ce prédateur de cœur, et qui éclipsant toute autre steak sur pattes, obnubile notre carnassier jour et nuit, lequel ne cesse de songer au pièges subtiles, ou pas, qu’il pourrait mettre en place pour attraper sa tendre moitié. C’est ainsi qu’est l’état amoureux du célibataire en chasse, subtil mélange de frustration, d’excitation, de calculs machiavéliques, de soupçon, avec une pointe de joie et une bonne dose de déception.

  Déception, eh oui car c’est ce qui va amener à considérer l’autre état amoureux qui est le couple et dont la condition sine qua non et bien entendu la réciprocité de l’amour ce qui pose parfois un problème, d’où la déception évoquée précédemment.

Mais bon admettons que le plus dur est fait, et qu’il y ait couple entre nos jeunes, ou pas, tourtereaux. Dans ce cas le comportement de l’amoureux change du tout au tout. Jadis en traque de l’âme sœur, il se trouve désormais devenus un mièvre amoureux transit et comblé. Et c’est alors qu’être amoureux prend son vrai sens. Fini, la tranquillité des soirées solitaires, les jeux de rôles entre célibataires endurcis, le temps passé sur l’ordinateur à regarder des sites fort peu recommandable où pire encore des DVD de P1, fini d’avoir le droit d’embrasser tout ce qui bouge dans les soirées open bar, et plus de temps à perdre à lire ce sublime Quart d’Heure Philosophique. L’esprit de notre sujet est désormais obnubilé par le désir encore permanent de la présence asservissante et intellectuellement dégradante de ce qu’il considère désormais comme une partie de lui-même, de son soi intérieur profond.

Mais ? Pourquoi accepter ça ? Me demande cette auditrice au premier rang. En vérité les raisons sont nombreuses et unanimement incohérentes. Elles vont du simple désir d’intégration social au besoin sexuel pur et simple. Je vous l’affirme donc haut et fort, chers auditeurs, l’amour est une hypocrisie, le reflet d’un choix subconscient d’utilitarisme humain, inculquée de façon subliminale, et ce dés votre plus tendre enfance, par les firmes spécialisées dans la production de latex, et ce, infâme hérésie, dans les publicité de Nutella® et Pamper’s®

Ainsi donc, amis philosophes, les couples pervertis que vous voyez s’embrasser langoureusement dans la rue ne sont qu’un signe de manipulation publicitaire. Fuyez ce fléau d’une société de consommation sans scrupules, et consolez vous donc de ne pas en faire parti, et si vous en faites parti, doutez comme tout bon philosophe et demandez vous : après tout que m’apporte l’amour ? La réponse en est révélatrice.

    Et voilà chers auditeurs et auditrices c’est la fin de ce Quart d’Heure Philosophique spécial St Valentin qui portait sur l’amour. Au revoir ! Et à bientôt ! 

luke2                                  

AVIS AU JEUNES FILLES QUI NE SONT PAS D’ACCORD AVEC LA CONCLUSION: je suis tout disposé à expérimenter personnellement à leurs cotés leur conception de l’amour, tant qu’elle reste charnelle et sans engagements sur la durée.

18 février 2008

phrases mythics(comme a mc do)

Alex "en médecine, on peut pas s'avancer... ta déjà vu un drapeau rattraper son mat?"

Benj: "L'homme n'est pas fais pour travailler , la preuve, sa le fatigue..."

Steph" mais ceux du groupe AB c'est des gros rats par ce que il peuvent recevoir du sang de tout le monde et donner a personne,c'est ça qui est bien"

Benj : "trop puissant"

Alex
: "tu veux des cours de physique ? sssss"

Emeric: " Ca fait pas mal mais c est chiant ca fait pas mal mais c est chiant ...."

si vous en avez d'autre c'est le moment de se lâcher...

29 janvier 2008

Quart d'Heure Philosophique - Le réel

Mesdames et messieurs, chers auditeurs, bonsoirs et bienvenue pour le Quart d'Heure Philosophique

Tadaaaadaaaatadadadadadam (petite musique d'intro)

Aujourd'hui chers auditeurs et auditrices nous allons traiter du sujet récurent de la philosophie pré, post, pro, néo, pseudo socratique, le thème récurent dans toute société civilisée: le réel.

Qu'es ce que le réel? Quelle est ta définition du réel? Si c'est ce que tu peut toucher, voir,...stooooop! N'entrons pas dans des débats Hollywoodiens de monde informatique édulcoré au rêve américain. Nous parlons bien du réel dans sa subtile et inexistante nuance avec la vérité. Ce réel, donc, qu’est-il ? Jamais moins que l’essence même de vérité qui se voile derrière le monde décadent que nous côtoyons.

Comme l’aurait dit nôtre ami Platon, la Vérité (donc le réel, voyez ici encore cette subtile nuance) et dans le monde des idées, réminiscence conceptuelle, qui s’oppose à la réalité sensitive du spéléologue campeur, qui, prenant le café au lever du jour dans une caverne exposée Est Sud Est au bord de l’autoroute A7, voit l’ombre de sa tante qui l’attend dehors dans sa 2CV rose bonbon. Ce mythe de  la Caverne qui fut plus tard ré explicité par Kant dans ses définition de monde nouménal (ou phénoménal) opposé une fois encore au transcendantal.

Pour résumer, on pourrait dire que la réalité, au yeux de ces illustres penseurs, est cachée, et gâchée, par nos perceptions qui nous éloignent des concepts purs, formes parfaites du monde tel qu’il est vraiment, au-delà de nos yeux de simples mortels.

L’irréel, et donc l’illusion dans la quelle nous sommes, ne peut-il être en soit une forme de réalité relative au point de vue ? Ou, en d’autres termes, la vérité est-elle unique? Cette hypothèse, partant du postulat du scepticisme et basée sur un doute de l’universalité qui part un exemple simple se traduit comme ceci : Je peut passer une année entière à apprendre l’anatomie, la physiologie et autre logis biologiques, je ne peut objectivement être sur d’être moi-même conforme à ce que j’apprend avant un bon saucissonnage au scalpel pour vérifier si mon réel correspond à ce réel là. J’invite donc, en toute amitié, tout les P1 un tant soit peu philosophe à s’emparer d’un grand couteau de cuisine (à défaut de scalpel) pour aller vérifier eux-mêmes leur anatomie cardiaque.

Mais pour revenir à notre sujet, pouvons nous simplement être sures de notre propre existence? Cogito ergo sum, nous dirait Descartes, mais on a beau cogiter qu’est-ce qui nous prouve l’existence même de notre pensée. Facile, me direz vous, le simple fait de penser qu’on ne pense pas c’est déjà penser. Juste ! Vous répondrai-je. Alors quoi ? Me questionnerez vous. Pensez vous lorsque vous dormez, êtes vraiment bourrés ou devant un cours de SHS ? Et par cette suspicion sublime vous pourrez alors envisager l’extrapolation métaphysique qui se dresse sous vos yeux. En effet si lorsque vous pensez vous existez, alors, par corollaire, si vous ne pensez pas vous n’existez plus, et si rien n’existe rien n’est réel. La réalité s’effondre donc tel un château de cartes devant un ventilateur fanatique.

Enfin, nous ne pouvons aborder le réel sans aborder les rêves. Lorsque vous rêvez, il est indiscutable que vous pensez, voir même réfléchissez, dans un rêve. Donc, vous existez dans ce rêve, qui par conséquent existe autour de vous. Avec ça venez maintenant me prouver que les rêves sont irréels. Avis donc à ceux qui rêvent des choses fort peu avouables, quelque part vous le faites pour de vrai (on se sent crade, hein!!!). Cependant, nous nous en tiendrons là pour les rêves car ce sera sans doute le sujet d’une prochaine chronique.

Allez va, même si rien n’existe vous m’avez au moins moi vôtre fidèle chroniqueur, à moins bien sur que je ne sois qu’un produit de votre imagination. Peut-être êtes vous simplement dans un grand rêve.

       _ allez ! Debout ! Le petit déjeuner est servi !

Et voilà chers auditeurs et auditrices c’est la fin de ce Quart d’Heure Philosophique qui portait sur le réel. Au revoir ! Et à bientôt !   

luke1                                 

15 janvier 2008

petite introduction au Quart d'Heure Philosophique

Mesdames et messieurs, chers auditeurs, bonsoirs et bienvenue pour le Quart d'Heure Philosophique

Tadaaaadaaaatadadadadadam (petite musique d'intro)

Je me présente, pseudo:Le chien fou, âge:17ans 4mois et 9jours, sexe: masculin (avis aux amatrices), mensurations: non mais ho! Et puis quoi encore, faut pas exagérer non plus, bande de pervers...

Bref j'aurais le plaisir de diriger pour vous cette magnifique chronique philosophique hebdomadaire (les habitués remarquerons que on est passé de trihebdomadaire à simplement hebdomadaire) où il sera question de devinez quoi...? De philosophie. Non pitié, ne fuyez pas, laissez moi vous expliquer de quoi il s'agit.

La philosophie, art magnifiant de la dialectique in vocate (ici in scriptorio), consiste, comme le disait un éminent philosophe, à: "ne pas répondre à des questions que personne ne se pose". Une science donc indispensable dans ces temps troubles de DVDs et autres cours informatiques bassement utilitaires, où même cet ultime bastion d'humanité s'est effondré sous le poids d'un plagia nommé SHS (sciences humaines et sociales), vulgaire méli-mélo psychophysiologique, au demeurant fort respectable.

Voila donc sur quoi nous allons débattre durant de longues (très longues minutes) qui, je l'espère, seront pour vous aussi passionnantes qu'un DVD de P1 durant les vacances de Noël

Voila pour le fond. Voyons à présent la forme. Un texte paragraphé composé par un assemblage organisé de 26 lettres et parfois 10 chiffres accompagné à l'occasion d'art pictural manuel. Le tout portant de façon désuètement banale sur un sujet choisi au jour le jour, sujet philosophique bien sûr.

Une précision semble s'imposer quand à la durée de cet exposé qui ne sera pas d'un quart d'heure, comme indiqué dans le titre, mais tout au plus de quelques minutes selon vôtre vitesse de lecture, et par la même vos notes de CP. Et oui ici aussi il y a une sééééééélection, vous devrez savoir lire sans quoi vous serez obligé de faire appel à votre grand frère ou soeur. Mais ce problème est sans doute déjà résolu pour vous, sans quoi vous ne liriez pas ces lignes, au demeurant au combien sublimes. Au  cas ou certain d'entre vous, à l'esprit particulièrement mauvais, penserait qu'il me suffit d'un quart d'heures pour écrire un tel tissus d'âneries, je tiens à signaler que c'est faux, c'est tout un travail et cela prend beaucoup plus de temps et demande un réel investissement (notamment parce que je tape très lentement sur un clavier). Se pose donc le mystère qui vous tiendra en haleine jusqu'à la fin de ces chroniques (il ne vous sera révélé qu'a cet instant fatal): Mais alors, pourquoi un quart d'heure ?                                 ...suspense!

Et voila cher auditeur et auditrices c'est déjà la fin de notre quart d'heure philosophique qui portait cette fois ci sur le Quart d'Heure Philosophique

luke1

NB:tant qu'il y aura des dark vador, cette chronique continuera, autant dire que vous êtes pas prêt de savoir pour le quart d'heure

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15 janvier 2008

dur vie de P1

100_0113oula! c'est dur... de se remettre au travail après avoir mangé.

dans ce blog vous trouverez des folies plus betes les unes que les autres mais il faut nous comprendre quand on passe sa journée à regarder des cours sur DVD c'est impossible d'en ressortir sans sequelles.

15 janvier 2008

voila le premier message

c'est le plus inutile de tous mais il faut bien un premier, alors voila c'est fait. c'est un grand pas pour moi et un premier pas en arrière pour l'humanité. Puisse ce blog etre aussi bête que nousl'avons imaginé.

                       In Sanctis Spiritus... AMEN !

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